Que cette date soit gravée dans le marbre ! Mon blog vient d’être acceptée au sein de la
Merci à tous les cyber-collègues qui m’ont parrainé, et un merci tout particulier à Lala, ma marraine !!! A très vite pour la suite !
Et bonnes vacances à tous !
16 pensées sur « J’ai rejoint la CPB !!!! ! »
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Une séquence en arts visuels : voici un travail autour des différentes formes d’écritures, qui mêle arts visuels et histoire de l’art. Encore une fois, c’est du clé en main : 32 pages pour 11 séances prévues (il en faut au moins une ou deux en plus).
Après une découverte des outils scripteurs plus ou moins habituels de la classe, de leurs points communs et de leurs différences, les élèves se lanceront à la découverte de l’art des lettrines et des enluminures, puis de la calligraphie, des graffiti et du light painting, en créant à chaque fois une réalisation de chaque type.
Au cours de la séquence, on teste, on expérimente, on cherche les différents effets en fonction du geste, on crée, on analyse, on prélève, on assemble, on réinvestit, on trace, on taggue, on écrit avec de la lumière, …
J’ai emprunté la fiche d’Histoire des Arts sur Les très riches heures du Duc de Berry de Cenicienta pour la glisser dans la séquence.
La séquence :
compétences et objectifs, plan de séquence, fiches de prep’ et documents élèves
Le fichier est assez volumineux, le téléchargement a lieu sur mon Google Drive.
Les diaporamas dont vous aurez besoin pour les différentes séances :
Calligraphie et écriture – Séance 3
Calligraphie et écriture – Séance 4
Calligraphie et écriture – Séance 8
Calligraphie et écriture – Séance 10
Des exemples d’enluminures réalisées en classe (papier épais, brou de noix étalé au sopalin, dessin au crayon de bois, encres)
Voici le résultat d’un travail de plus d’un an ! Le résultat : 95 pages clé en main pour mener la séquence.
Je ne vais pas m’en cacher, Rascal est mon auteur préféré ! Pour pas mal de raisons : j’aime la qualité de son écriture, le mot juste qu’il trouve toujours, ses histoires faussement naïves et vraiment profondes. Et surtout le fait que ses textes proposent un double niveau de compréhension, pour peu qu’on prenne le temps de le chercher.
L’ensemble de la séquence fait 15 séances, mais toutes ne sont pas indispensables pour aller au bout du projet.
Concernant les livres à posséder et à avoir en classe, je vous en conseille 3 : Ami-Ami, Le voyage d’Oregon et Moun. Ils sont édités chez L’école des Loisirs et existent dans la collection Pastel, à 5.60€. Les autres, hormis Petit Lapin Rouge, sont de toute façon épuisés et introuvables.
Comme objectifs à atteindre en menant cette séquence, j’ai essayé d’amener les élèves à :
– Utiliser un réseau autour de l’auteur pour que les textes s’éclairent les uns les autres
– Découvrir l’univers de l’auteur
– Se confronter à des textes résistants et proliférants
– Comprendre les non-dits d’une histoire en s’appuyant sur les connaissances acquises sur l’auteur
– Rentrer dans la symbolique de certains éléments récurrents chez l’auteur (les saisons comme cycle de la vie, le feu qui détruit et purifie, l’eau qui purifie, le voyage géographique et initiatique)
– Comprendre le rôle de l’épigraphe chez Rascal comme un indice de compréhension des non-dits de l’histoire.
La séquence est elle même divisée en 3 parties.
La première est une sorte de « mise en bouche » permettant de découvrir Rascal, qui va permettre à l’élève de se rendre compte que sous ses airs d’histoires parfois un peu niaises, il faut creuser pour trouver le vrai sens. Dans cette première partie, je propose l’étude de Petit Lapin Rouge (telle qu’elle est proposée par Catherine Tauveron dans Lire la littérature à l’école), Ami-ami (je me suis bien appuyé sur le dossier trouvé ici) et Le voyage d’Oregon (là, je ne dois rien à personne 😛 )
La seconde partie permet d’apporter quelques titres en plus au réseau. On découvre Moun, Pied d’Or et La nuit du grand méchant loup aux élèves (1 séance pour chaque album).
Enfin, la dernière partie est la plus intéressante : c’est celle qui va permettre de lever la compréhension de 2e niveau en mettant en relation les différents albums, qui vont venir s’éclairer les uns les autres. Cela permet de comprendre la symbolique de certains éléments (les saisons, l’eau, le feu, le voyage, les masques, la naissance, l’horizon) en les comparant dans les différentes histoires (de nouveau, ce travail est repris dans l’ouvrage de Catherine Tauveron, que l’on peut aussi consulter ICI).
Enfin, en guise d’évaluation (formative ou sommative, à vous de voir), une dernière séance sur La route du vent est proposé.
Le plan de la séquence et le tableau synthèse complété
La séquence 1 : Découverte de l’auteur
La séquence 2 : apport de nouveaux textes
La séquence 3 : les enjeux du réseau intra-textuel
Pour ceux qui ne connaissent pas ces albums, une rapide description de chaque :
Petit Lapin rouge : des airs de conte détourné dans les premières pages, jusqu’à la rencontre avec le vrai Petit Chaperon rouge. Une fin ouverte absolument « délicieuse » !
Ami-ami : l’histoire d’une amitié improbable et impossible entre un lapin borné et un loup au grand coeur (vraiment ?). Tout l’intérêt de cet album réside dans l’incertitude permanente concernant les réelles intentions du loup (« Je t’aime comme tu es »- Comme tuer ? ). D’ailleurs, la fin de l’histoire se cache dans le titre, vous l’avez trouvée ? Un album dans lequel le rôle des illustrations est primordial !
Le voyage d’Oregon : mon coup de coeur littéraire ! C’est déjà celui que j’avais présenté au CRPE (il y a presque 10 ans, pffff !). L’histoire, sous forme d’une quête
spirituelle, d’un clown nain, mal dans sa peau, sans se l’avouer, qui va traverser les Etats-Unis d’est en ouest à la demande d’un ours. Ok, sur le papier, c’est étrange… Mais encore une fois, la beauté des mots, la poésie, les références (Rimbaud, Van Gogh, Kerouac), les illustrations, les couleurs et leur signification montrent que Rascal produit des histoires entre les lignes desquelles il faut chercher la vraie signification de l’histoire (d’ailleurs, les épigraphes présents dans la plupart de ses livres nous en montrent le chemin).
Moun : cet album est inspiré de l’histoire de Sophie, l’illustratrice et la femme de Rascal. L’histoire d’une fillette née en Asie pendant la guerre, et dont les parents n’ont d’autre choix que de se séparer pour espérer sa survie. Elle est confiée à l’océan et grandira de l’autre côté de l’horizon.
Pied d’Or : un cochon tirelire décide de quitter la chambre dans laquelle il a toujours vécu pour aller découvrir le monde. En partant, il rencontre une poupée cachée, cassée, sale. Il la lave, la rhabille et l’emmène avec lui. Une histoire qui nous promet un voyage mais celui-ci ne nous sera pas conté.
La nuit du grand méchant loup : des jouets, lassés d’être délaissés par leur propriétaire qui préfère à présent les livres, décident de quitter la maison pour partir à l’aventure. Ils rencontreront des personnages de contes, et se rendront compte que le monde est plein de danger !
La route du vent : encore une histoire qui parait très simple à la première lecture, mais le texte est résistant. En trame de fond, l’histoire de trois animaux qui vivent en haut d’un mur, au milieu d’un désert. Un jour le vent ne leur apporte plus son lot de graines, et la sécheresse les pousse à quitter leur mur pour gagner la ville. Passé ces éléments narratifs, c’est en fait un texte sur les différents âges de la vie.
Fanchon : Un texte très résistant, que les élèves ne comprendront d’abord pas du tout, mais qui viendra être éclairé par les autres textes étudiés. L’histoire d’une petite fille trop sage, qui à force de vouloir faire plaisir, en oublie de s’épanouir. Elle se fera violence pour grandir.
Pour ceux qui apprécient cet auteur, voici quelques liens qui permettent d’en savoir un peu plus sur lui : ICI, ICI, ICI ou encore ICI et LÀ.
20 pensées sur « Un auteur : Rascal ! »
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Bon, ok. Je m’incline. 😀 Bravo pour ce travail!!
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Merci ! J’ai vraiment aimė ton travail, très complet sur l’album, et qui permet d’explorer chacune de ses facettes (je crois qu’il n’y a vraiment que le travail sur les coleurs des illustrations au cours de l’histoire que je n’ai pas vu dedans). J’ai une question d’interprétation à te soumettre, puisque tu connais bien l’album : penses-tu queOregon ait vraiment existé dans cette histoire ? Je me pose la question
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Ah, je n’avais pas eu cette idée. Tu penses que l’ours est une sorte de métaphore de l’inconscient de Duke? Son désir de liberté incarné? Maintenant que j’y pense… ça paraît presque évident! ça me donne envie de le relire du coup..
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Exactement, mais c’est une hypothèse personnelle, c’est pour ça que je te demande comment tu l’as perçu. A aucun moment dans l’histoire un autre personnage ne relève la présence d’Oregon, alors qu’ils font du stop, dorment dans un motel, prennent le bus, …
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Et puis, un ours qui parle ! Juste une fois, juste à Duke..
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(Et puis les hamburgers… c’est pas possible…et un ours qui fait du stop… non plus!!) Il faudrait vraiment que je le relise attentivement, mais je crois que ton interprétation est tout à fait recevable!! Je ne l’avais pas envisagée!!
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C’est qua nd même formidable la littérature de jeunesse ! Qui aurait pensé que l’on puisse pousser l’interprétation aussi loin avec des cycle 3 ?
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J’adore Rascal!!
A la lecture de ton interprétation, j’ai relu l’album.
Pour moi, le voyage de Duke reste la métaphore d’un retour à soi, comme l’enfance retrouvée.
Oregon serait donc le personnage fantasmé par Duke qui l’aiderait dans sa quête d’identité vers la liberté et l’estime de soi.
En ce sens, le choix de l’ours par l’auteur prendrait tout son sens car il est plus ou moins l’archétype de l’enfance…
Rhôo, je pars le relire!! -
Je pense que c’est une bonne analyse. : le symbole d’une enfance que Duke aurait du mal à quitter, par peur de s’assumer en tant qu’adulte, et qu’il finit par quitter à la fin de l’histoire. Un indice qui argumenterait cette interprétation encore : l’univers dans. Lequel se déroule cette histoire est un univers vraisemblable, réaliste. En témoignent les lieux, les références culturels, la Chevrolet 1936, la rencontre avec Spike qui souffre lui aussi de la différence. Le seul élément qui parait imaginaire est cet ours.
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Félicitations pour ce magnifique blog!
Je suis pour ma part incapable d’analyser, interpéter les oeuvres littéraires, ça m’éneeeeeeeeeerve! Je suis très admirative de ceux qui arrivent à dire beaucoup plus que « j’aime, j’aime pas »! Je passe à côté de beaucoup de choses… -
Sans doute le fais-tu sans t’en rendre compte, ptitejulie!
Toute lecture est une interprétation puisque tu te forges un sentiment dès les premières pages… Moi, j’adore chercher dans les albums de littérature de jeunesse les références artistiques, je ne peux pas m’empêcher de le faire (comme je le fais aussi en regardant une oeuvre et en cherchant à quelle autre l’associer)…
OlivierI, en nous proposant une lecture fine des œuvres de Rascal, tu n’as pas fini de me retrouver ici! (et t’es-tu penché sur l’oeuvre de Ponti??) -
Merci de me rassurer, je t’assure que c’est une grande frustration!
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Les premières interprétations que l’on voit sont souvent celles vers lesquelles on nous a menés. C’est seulement après, une fois que l’on en a rencontrer un certain nombre que l’on est assez armé pour s’y aventurer seul. Et puis, certains interprétations/références sont plus simples à percevoir que d’autres.
Si tu as l’occasion, il y a quelques pages qui sont consacrées à cette question dans Enseigner la littérature à l’école, de Catherine Thauveron . -
Elcaracol : je n’ai jamais réussi à accrocher l’oeuvre de Ponti, je pense que je ne la comprends pas. Son univers est magnifique, mais je me demande encore ce qui se cache derrière.
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Quelle magnifique exploitation !!!
Mille mercis pour l’originalité de ton travail. -
Merci à toi Ycrol pour ce message !
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Je viens de découvrir votre blog et je suis époustouflée par la qualité des documents proposés .
Un grand merci pour votre partage et une grosse bise (aussi) car vous m’avez remotivée : je travaille à 1 heure du matin avec sourire … et plaisir! -
Avec plaisir ! Et ton message me permet de démarrer la journée avec le sourire, merci à toi aussi !
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Quel travail! merci. Je cours relire Rascal.
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Mais de rien ! Merci à toi pour ce passage et ce petit mot
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Aujourd’hui, je vous présente un coup de coeur : Le Loup de Six-Cailloux. Voici le premier album fraichement écrit par Solène, une collègue PE dans l’Oise. En plus du temps qu’elle consacre à sa classe et à la direction de son école, elle nous montre qu’il y a une vie après l’école !
Cet ouvrage, paru début avril, se passe comme tout conte qui se respecte, dans un lieu et à une époque indéfinis. A chaque nuit de pleine lune, le loup garou vient chercher un enfant du village et l’emmène dans la forêt. Jamais aucun n’en ait revenu. Les adultes se montrent résignés mais les enfants sont décidés à ne pas se laisser faire et à prendre ce problème en charge !
L’originalité de cet album, ce qui le rend particulier (et aussi très intéressant à exploiter en classe), c’est l’ambiance que les auteurs ont su créée. Pour ce faire, ils ont utilisé une technique appelée Paper-cut. D’ailleurs laissons Solène, l’auteure, nous en parler !
Pensez à laisser un p’tit mot : Solène vous lit !
Solène, peux-tu nous parler de la genèse du Loup de Six-Cailloux ?
Eric reçoit chaque jour une newsletter menant vers un lien en rapport avec l’art. Un jour, il m’a envoyé le lien du jour, un paper-cut . On trouvait ça sympa mais la plupart du temps, les gens faisaient juste une scénette, nous on aimait bien l’idée mais pour faire un album.
Donc tu connaissais déjà Eric dès le début de ce projet ?
On se connait depuis le lycée et on avait déjà travaillé ensemble sur un projet de stop motion en hommage à l’œuvre de Tim Burton que nous aimons beaucoup et qui était organisé par la Cinémathèque. On était fans des paper toys, des petits personnages en papier à construire à partir d’un patron et on avait fait un court métrage avec un de ces personnages qu’Eric avait créé (visible sur ce lien : ICI ). On savait qu’on était complémentaires car Eric est graphiste, photographe et a un bon coup de crayon et moi j’aime inventer des histoires et bricoler des trucs. Du coup, on s’est dit : « Allez ,on le tente ».
Avez-vous créé les illustrations pour compléter le texte, ou les mots sont-ils venus se poser sur vos créations ?
On avait envie d’un univers sombre avec des personnages simples et un animal (dès le début on voulait un loup en fait) pour une histoire proche du conte. On a inventé l’histoire pour qu’elle « colle » aux illustrations qui nous faisaient envie. Lorsqu’on a pris la première photo, on n’avait même pas encore inventé l’histoire entièrement ! On a tout découpé pour faire la première illustration et on l’a prise en photo. Ensuite Eric l’a travaillée sur Photoshop et Lightroom et on a trouvé le rendu sympa. Mais c’est quand on l’a montrée à nos proches qu’on s’est rendu compte que ça plaisait vraiment, que les gens voulaient savoir comment on l’avait fait. Tout le monde nous a poussés à continuer et c’est ce que nous avons fait. Il a fallu donc inventer la suite de l’histoire…Naturellement les enfants sont vite devenus les héros de l’histoire et nous voulions une métamorphose comme dans tout bon conte !
Pour des enfants de quel âge conseillerais-tu votre album ?
Pour moi c’est du cycle 3. Le texte en lui-même est simple mais l’univers est particulier et il faut être un bon lecteur pour se laisser emporter dedans. De plus si on veut utiliser la même technique (le Paper Cut) en classe il faut que les enfants soient habiles, donc je pointe aussi plutôt les grands.
Justement, rentrons dans la partie technique, celle qui permettrait à des classes de se lancer à réaliser des tableaux du même genre. Comment avez-vous procédé ?
Eric dessinait les personnages et les décors, me les envoyait, je les imprimais sur du papier noir et les découpais, ensuite on positionnait tout et on prenait les photos. Arrivés à ce niveau, c’est Eric qui a fait tout le travail en sélectionnant les meilleures photos et en les travaillant sur des logiciels de retouches parce que je n’y connais absolument rien…Parfois Eric dessinait le matin, je découpais l’après-midi et on prenait les photos le soir ! Une fois même, nous avions bien avancé et Eric n’avait pas eu le temps de préparer les nouveaux dessins, il les a griffonnés vite fait sur du papier noir pour qu’on puisse faire une nouvelle photo (c’est celle avec l’enfant et son lance-pierre) !
Le dessin des silhouettes, réalisé par Eric
Les silhouettes découpées, prêtes à être utilisées
Le making off de la prise de vue, avec les éclairages installés
La photo
Un ENORME merci à Solène et à Eric pour le temps consacré à me préparer ces explications et ces photos !
Pour vous donner une idée de ce qu’il est possible de réaliser en classe voici le tableau que j’ai fait avec des CE2-CM1-CM2 l’an passé (et un petit mot sur sa réalisation ICI)
12 pensées sur « Le loup de Six-Cailloux, de Solène Gaynecoetche et Eric Désiront ! »
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Merci Olivier pour cet article très sympa, pour ton enthousiasme et ton soutien!
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Magnifique, ton article donne envie de connaitre l’album: je vais le suggérer dans ma bibliothèque où la bibliothécaire jeunesse est toujours à l’écoute de nos découvertes.
Solène
Jeudi 26 Novembre 2015 à 21:21
Merci Pavi 😉
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Merci Pavi 😉
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Ils peuvent le commander sans hésitation : il est magnifique !
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Ouah, album superbe que j’ai hâte de découvrir. La réalisation en classe est elle-même top, et ça donne follement envie d’essayer de faire pareil.
Bravo à Solène et bravo à toi qui promeut son travail.
Si besoin de référencer l’ouvrage, n’hésitez pas à le faire sur livres.monecole.fr c’est fait pour ça.Solène
Jeudi 26 Novembre 2015 à 21:21
Merci Orphys 😉
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Merci Orphys 😉
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Bonjour Orphys et merci pour vos compliments qui me touchent beaucoup 🙂 Ce serait super de référencer l’album (et le prochain aussi si c’est possible?), je vais m’en occuper. Merci beaucoup!
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Article sympathique et pétillant ! Il explique bien le principe de l’album qui soit dit en passant je vous recommande vivement, tant par son originalité que sa qualité. Merci aux auteurs pour ce travail 🙂
Solène
Jeudi 26 Novembre 2015 à 21:23
Merci Cécile 😉
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Merci Cécile 😉
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Bonjour,Il est rare pour moi de passer du temps sur les blog et de laisser des commentaires… Mais je m’en sens vraiment obligée là !Passionnée d’arts visuels et de littérature de jeunesse, je me suis reconnue dans ta présentation. Ton blog est génial. Je vais devoir passer commande chez le libraire.J’adore aussi AMI AMI !J’ai des CM cette année et je pense te piquer te idées..Bref c’est génial.. J’adore ce que tu fais !Merci pour ce partage !Mélanie (jeune PE du 84)
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Bonjour Mélanie, et merci à toi d’avoir pris le temps d’écrire ces mots. Tu n’imagines pas à quel point ils font plaisir ! Je suis ravi que mon blog te plaise autant !
Si tu as aimé Ami-ami, prends le temps de découvrir Le voyage d’Oregon, il est aussi riche mais un peu plus subtil encore, il devrait te plaire ! -
Bon d’accord je suis encore là et je viens encore de commander un livre 😉
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Que ce soit en Arts Visuels, en Histoire des Arts ou encore en écoute musicale, les élèves sont censés savoir exprimer leur ressenti face à une oeuvre. Certes… Vous avez déjà essayé de leur demander ? Gros bide non ? En tout cas, c’est comme ça que cela se passe pour moi la plupart du temps. Et pour cause, je ne suis pas sûr que la plupart des adultes non initiés à l’art soient en mesure de le faire. Encore une fois, c’est comme ça que cela se passe pour moi la plupart du temps ! J’ai un mal fou à mettre des mots dessus.
Partant de ce constat, j’ai créé une fiche méthodo en m’appuyant sur les réflexion de Patrick Straub (à retrouver ICI) afin d’aider les élèves à poser des mots sur leurs émotions et sur leur ressenti face à des oeuvres.
Comme le fait remarquer Patrick Straub, en début d’année, mieux vaut faire cette partie à l’oral, sous forme de « brain storming » : on demande à chacun ce que le tableau / la sculpture / la photo / l’extrait musical suscite en eux, on note les mots clés au tableau et on construit collectivement un texte qui fera office de trace écrite. L’inconvénient est que le ressenti est personnel, et qu’avec ce dispositif de découverte, il sera collectif.
Le but est que les élèves réussissent à produire des traces écrites telles que :
« Cette peinture m’inquiète à cause de l’atmosphère » (Le cri, Munch)
« Ce tableau me révolte à cause des circonstances dans lesquelles il a été peint » (Guernica).
« Je le trouve mystérieux car on dirait un rêve » (Voyageur au dessus de la mer de nuages).
26 pensées sur « La relation sensible et personnelle à l’oeuvre ! »
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j’adore, c’est toujours une galère de faire écrire leur avis aux élèves sur une oeuvre étudiée !
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C’est super comme idée, je vais la tester dès la semaine prochaine!
Merci -
Merci !!!
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Top! Merci!
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Article relayé chez moi 🙂
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Merci beaucoup pour le lien Gandalf ! Pfiou , ça booste instantanément la fréquentation de mon blog !
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Merci pour ce travail et son partage, je suis en C2 cela me servira de base pour créer la mienne!
merci aussi Gandalf -
Merci à toi pour ce petit mot !
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Super idée…
Merci pour le partage -
J’adore , ça rentre pile dans mon projet ! , hop je prends !
(merci Gandalf pour l’article, c’est par là que je suis arrivée !) -
Merci. Ca permettra surement de sortir des habituels « j’aime », « c’est joli » …
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Je viens de découvrir ton blog grâce au lien de dix mois ; et je suis enchantée de la découverte ! Tu as des idées géniales et tes mises en pages sont magnifiques ! Je te « vole » ta fiche sur les relations à l’œuvre, c’est exactement ce que je voulais créer pour mes élèves en histoire des arts ! Merci ! J’ai aussi exploré ton blog et découvert ton énorme travail sur les lieux qu’il faut connaître. Je me réserve pour 2015-2016, j’utilise déjà le rituel de la classe de Mallory en histoire des arts et malheureusement il faut choisir. Ton blog fait partie de ceux que je suis sur Bloglovin, maintenant .
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Merci beaucoup pour se partage. J’essaie plusieurs idées pour les écoutes musicales ou les découverte d’œuvres d’art. Je vais enrichir ma pratique grâce à ce partage et au lien que tu nous donnes!
Merci à 10mois pour le lien! -
Merci beaucoup pour ces petits mots, en particulier à Nannemiel ! Ca fait vraiment plaisir de vous lire !
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Je suis en pleine découverte de ton blog mais là c’est le document idéal qui me manquait … Je créée des cartes d’identité à la manière de notre chère collègue Cenicienta et pour donner leur avis en bas, je me retrouve avec des « c’est chouette, j’adore car c’est de la Préhistoire, … sauf que toute ma 1ère période est sur des œuvres de la Préhistoire donc ça ne varie pas trop !
Je pense faire ce travail sur leur ressenti pendant des temps d’APC en lien avec l’histoire des Arts que nous faisons avec les dictées. -
J’ai eu des arguments aussi « pertinents » que les tiens Laeti. Je suis content de voir que çette fiche vous plait !
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Programme pour ce jeudi sous forme d’une mini-leçon .en production écrite ( bonne semaine)
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Tu me diras si tu as été satisfaite ou s’il y a des choses à remanier ?
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Alors je me suis servie de tes docs en APC et je vais voir au retour des vacances si les commentaires ont évolués !
Je te tiendrai au courant. -
J’espère Laeti!
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Super !!! Merci Olivier !! Je pense utiliser ta grille en affichage collectif quand j’aurai des C2 l’année prochaine.
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Mais de rien je ne l’utilise pas en affichage, les élèves l’ont dans leur cahier pour réaliser individuellement leur trace écrite. Tu auras des cycles 2 l’an prochain?
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Oui !! Une énorme envie de changement !! Après n’avoir fait que du Cycle 3, je vais partir à la découverte du monde obscur (pour moi) du CP
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J’adore!! Hate de tester!Merci du partgae
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merci pour cette aide , je suis sûre dans faire bon usage
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En fait, tu vas te marrer, j’étais persuadée que tu y étais déjà avant de voir ton post de parrainage !!
La suite, la suite !
Félicitations mon filleul !
J ‘ai raté les parrainages ! Zut ! Bienvenue en tout cas!
Bienvenue chez nous, chez toi !!!
Félicitations et belle vie à ton blog ; )
parrainages ratés : ton blog est trop chouette ça a été trop rapide
Bienvenue !!
Félicitations et bienvenue !!
Bon j’ai manqué l’affaire mais suis très contente pour toi ! Longue vie à ton blog !
bienvenue parmi nous!!!!!!!!!!!!!!
Bienvenue chez les profs blogueurs! A très bientôt
Félicitations collègue du pas de calais!!
Meroute, pas de calaisienne expatriée
Merci à tous !!!
Contente de te voir arriver parmi nous, en plus, j’ai le même degré que toi ! Bon, on est pas dans le même pays (Suisse) mais j’aime déjà beaucoup ce que tu proposes.
Bienvenue et longue vie à ton blog !
Bienvenu !!!!
Et tu verras, ce n’est qu’une grande cour de récréation ! Rien de plus 🙂
Bienvenue parmi nous
Et je vais en profiter pour découvrir ton blog….
Je ne vais pas être originale mais bienvenue parmi nous !